L’internet favorise le marketing

Le marketing et la publicité ont d’abord été définis comme un ensemble d’activités exercées par une organisation – l’entreprise par exemple – pour identifier ou prévoir, puis satisfaire, les exigences et les souhaits des clients, avec le développement et la mise en œuvre disponibles sur le marché de services ou de produits dont valeur que ces consommateurs percevront (E. Jerome McCarthy et William D. Perreault, 1985; Jean-Jacques Lambin, 1986). Sur la base de cette conception, la fonction de l’entreprise serait d’analyser les besoins et de fonder sur cette analyse à la fois son offre et son cadre fonctionnel de fonctionnement. Cette vision de l’entreprise réagissant à des exigences transformatrices fait l’objet d’une double critique : celle des praticiens, qui s’inquiètent, par exemple, du rôle voyageur des améliorations créées par l’entreprise, celle des chercheurs, qui concernent l’hypothèse d’autonomie des exigences. en ce qui concerne l’offre des entreprises. Plutôt que de retenir la réponse à la demande comme caractéristique identitaire du marketing et de la publicité, Shelby D. Search (1991) a défini le marketing et la publicité comme la science des transactions impliquant l’organisation et le marché. En se concentrant désormais sur le commerce comme unité d’évaluation, les théoriciens pointent le passage d’un marketing analytique, principalement centré sur les fonctions commerciales, à un marketing et une publicité alternatifs qui dépassent la structure de l’organisation pour envisager également un intérêt pour les dimensions sociales de l’échange. Ainsi, le marketing est défini aujourd’hui comme la fonctionnalité qui doit donner à l’organisation un avantage concurrentiel durable par le biais d’une relation lucrative à long terme avec les clients, en raison de la valeur du produit ou du service fourni. Cette orientation met l’accent à la fois sur le caractère interactif de la relation entre l’offre et le besoin, ainsi que sur le caractère dynamique de l’échange impliquant l’entreprise ainsi que le marché. A cet égard, la création d’Internet, et en particulier des sites de réseaux sociaux, a érigé le consommateur en représentant énergétique de la relation, notamment par sa capacité à produire et diffuser de l’information à grande échelle. L’essor du marketing et de la publicité s’est traduit par l’émergence – au sein des entreprises – d’une fonction et d’une activité particulière : la recherche marketing et publicitaire. Ceux-ci répondent à la nécessité pour l’entreprise de connaître les besoins auxquels elle entend répondre, c’est-à-dire de les diagnostiquer (que sont-ils exactement ?), de suivre leur évolution, ainsi que de les prévoir. pour être en mesure d’améliorer sa place concurrentielle. De plus, la création d’Internet a entraîné de profonds bouleversements dans le choix des focus. L’idée de longue traîne clarifie en fait que la vente de produits en ligne permet d’offrir un assortiment très large et très profond qui ne pourrait jamais être lucratif dans un point de vente physique, mais l’étendue de la couverture du marché fournie par Internet le rend possible. La pensée des mégastars décrit également le phénomène de croissance exponentielle des ventes de produits, rendue possible par le lancement de l’article relayé par les réseaux sociaux. Le second volet du plan marketing délivre l’offre. En fonction d’une évaluation de l’adéquation de l’offre actuelle aux attentes des acheteurs, seo l’organisation détermine la position qu’elle estime souhaitable de prendre sur le marché ainsi que l’image qu’elle s’engage à communiquer aux prospects. On appelle placement la stratégie qui vise à occuper un produit ou une marque d’une véritable place dans l’esprit des clients. Le positionnement est considéré comme une décision tactique majeure pour votre entreprise dans un contexte agressif caractérisé par la surabondance de l’offre ainsi que la difficulté pour l’entreprise d’accéder à l’acheteur. En effet, il n’accorde qu’une attention très limitée à l’essentiel des détails marketing qui lui sont destinés. De plus, les spécialistes du marketing n’acceptent que les produits de leur collection qui, selon eux, ont une probabilité supérieure de vente, et il est peu probable qu’un article mal placé soit adopté par les magasins.